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Du 6 au 29 mars 2025
L'artiste allemand Eberhard Ross s'inscrit dans la tradition de la peinture de champs colorés, telle que pratiquée par Mark Rothko et Helen Frankenthaler, empruntant au minimalisme d'Agnes Martin et poursuivant une forme de peinture entre le figuratif et le pur. Ses œuvres semblent rayonner de l'intérieur, dégageant un caractère presque sacré et faisant allusion à un niveau spirituel à travers leurs titres. Elles semblent stocker et libérer de l'énergie, brillent comme des couchers de soleil dramatiques et ont le pouvoir de transformer un espace par leur présence saisissante.
Eberhard Ross imprègne bon nombre de ses œuvres d’un halo coloré en peignant les bords du tableau, inclinés vers le mur, d’une couleur intense comme l’orange. Un effet intéressant qui était déjà utilisé dans les peintures de sa série fermata.
En italien, fermata signifie « arrêt », et ainsi, les peintures fermata sont conçues pour inciter le spectateur à faire une pause et à réfléchir.
En décrivant la série fermata, Eberhard Ross fait également référence à un phénomène musical. Les compositeurs utilisent la fermata pour demander aux interprètes de prolonger la durée d'une note au-delà de sa valeur habituelle. Il s'agit donc de prendre son temps et de se laisser porter par l'aventure artistique.
En observant de plus près, le rythme du tableau devient aussi perceptible : par de fines touches de pinceau ou des incisions calligraphiques dans la couche supérieure de peinture, Eberhard Ross insuffle une vibration chatoyante à l’image à travers un dense réseau de lignes, révélant ainsi les couches inférieures de peinture. Si l’on suit ces tracés du regard, ce rythme se met soudain en mouvement, inhérent à ces images monochromes qui, à première vue, semblent statiques. L’artiste cherche à capturer le son des couleurs dans sa peinture, nous invitant à cette exploration sensorielle.
Sophie Cieslar, historienne de l'art
PARIS
Du 13 au 27 mars 2025
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Du 13 au 27 mars 2025
Après deux années de cours à l’ENSB-A section modèles vivants, Bonnie Colin entre à l’école d’art de la Glacière à Paris, en section Peinture de Martin Bissière.
Elle travaille et expose dans son atelier tout en dessinant des costumes pour le théâtre. Elle rencontre Christian Lacroix à la comédie Française pour qui elle commence à dessiner des imprimés textile.
Sacha Walckhoff (le nouveau directeur artistique de la maison Lacroix) fait à son tour appel à son talent. Commence alors une collaboration régulière pour les collections de papiers peints et tissus distinguée par un travail pictural qui lui est propre, mettant en oeuvre des médiums comme l’aquarelle, l’encre ou la gouache…
Parallèlement Bonnie Colin, qui entretient un rapport particulier au papier, continue une création frénétique sur des carnets japonais. Ses derniers travaux nous montrent une œuvre picturale qui explore entre ombre et lumière et dans un trait acéré les zones secrètes de l’être humain comme celui des paysages.
Bonnie Colin est née en 1971 à Longwy.
Elle a quitté Paris pour la région d’Angers où elle vit depuis 2009.
Vernissage
Jeudi 13 mars
18h - 21h